le visage de françois fillon
François Fillon (prononcé [fʀɑ̃ˈswafiˈjɔ̃]), né François Charles Amand Fillon1 le au Mans, est un homme d'État français. Il est successivement membre du Rassemblement pour la République (RPR), de l'Union pour un mouvement populaire (UMP) et de Les Républicains (LR).
Entré en politique en tant qu'assistant parlementaire du député Joël Le Theule, il reprend son fief électoral dans la Sarthe, où il exerce, entre 1981 et 2007, les mandats de député, de maire de Sablé-sur-Sarthe, de président du conseil général, puis de sénateur. Il est également, de 1998 à 2002, président du conseil régional des Pays de la Loire. Des dernières années 1980 à la fin des années 1990, il est proche de Philippe Séguin et du « gaullisme social ».
Il est ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche dans le gouvernement d'Édouard Balladur (1993-1995), puis ministre des Technologies de l'Information et de la Poste (1995) et ministre délégué chargé de la Poste, des Télécommunications et de l'Espace (1995-1997) dans les deux gouvernements d'Alain Juppé. Après la réélection de Jacques Chirac à l'Élysée, François Fillon est ministre des Affaires sociales, du Travail et de la Solidarité (2002-2004) ; il accomplit des réformes structurelles sur la durée du travail et sur les retraites. En tant que ministre de l'Éducation nationale et « numéro deux du gouvernement » (2004-2005), il fait voter la loi Fillon pour l'éducation.
Le , à la suite de la victoire de Nicolas Sarkozy à l'élection présidentielle, il est nommé Premier ministre, conduisant trois gouvernements et étant l'unique chef de gouvernement de la législature. Il quitte ses fonctions le , après la défaite de Nicolas Sarkozy à l'élection présidentielle. Il est le deuxième Premier ministre, après Georges Pompidou, dans l'ordre de durée de présence en continu à Matignon.
Il est élu député de Paris en juin 2012. Candidat à la présidence de l'UMP en novembre 2012, il conteste les résultats annoncés par les instances du parti qui placent Jean-François Copé à sa tête ; il décide alors de la création d'un groupe parlementaire distinct du groupe UMP, le Rassemblement-UMP, qui est dissous après quelques semaines d'existence, à la suite de la conclusion d'un accord avec Copé.
Candidat à la primaire de la droite et du centre de 2016, il défend un programme libéral-conservateur. Il l’emporte au second tour face à Alain Juppé et devient le candidat de son camp pour l'élection présidentielle de 2017.
Entré en politique en tant qu'assistant parlementaire du député Joël Le Theule, il reprend son fief électoral dans la Sarthe, où il exerce, entre 1981 et 2007, les mandats de député, de maire de Sablé-sur-Sarthe, de président du conseil général, puis de sénateur. Il est également, de 1998 à 2002, président du conseil régional des Pays de la Loire. Des dernières années 1980 à la fin des années 1990, il est proche de Philippe Séguin et du « gaullisme social ».
Il est ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche dans le gouvernement d'Édouard Balladur (1993-1995), puis ministre des Technologies de l'Information et de la Poste (1995) et ministre délégué chargé de la Poste, des Télécommunications et de l'Espace (1995-1997) dans les deux gouvernements d'Alain Juppé. Après la réélection de Jacques Chirac à l'Élysée, François Fillon est ministre des Affaires sociales, du Travail et de la Solidarité (2002-2004) ; il accomplit des réformes structurelles sur la durée du travail et sur les retraites. En tant que ministre de l'Éducation nationale et « numéro deux du gouvernement » (2004-2005), il fait voter la loi Fillon pour l'éducation.
Le , à la suite de la victoire de Nicolas Sarkozy à l'élection présidentielle, il est nommé Premier ministre, conduisant trois gouvernements et étant l'unique chef de gouvernement de la législature. Il quitte ses fonctions le , après la défaite de Nicolas Sarkozy à l'élection présidentielle. Il est le deuxième Premier ministre, après Georges Pompidou, dans l'ordre de durée de présence en continu à Matignon.
Il est élu député de Paris en juin 2012. Candidat à la présidence de l'UMP en novembre 2012, il conteste les résultats annoncés par les instances du parti qui placent Jean-François Copé à sa tête ; il décide alors de la création d'un groupe parlementaire distinct du groupe UMP, le Rassemblement-UMP, qui est dissous après quelques semaines d'existence, à la suite de la conclusion d'un accord avec Copé.
Candidat à la primaire de la droite et du centre de 2016, il défend un programme libéral-conservateur. Il l’emporte au second tour face à Alain Juppé et devient le candidat de son camp pour l'élection présidentielle de 2017.
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